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La sexualité : en sexothérapie


La sexualité constitue un pilier fondamental de l’identité et du bien-être humain.

Pourtant, elle demeure souvent enveloppée de tabous, de mythes et d’idées reçues, entravant l’épanouissement sexuel et relationnel. La sexothérapie offre un cadre sécurisé, bienveillant et non-jugeant pour explorer ces dimensions, comprendre les éventuels blocages et redonner à la sexualité sa place légitime et vivante.



Définir la sexualité


L’Organisation mondiale de la santé (OMS) définit la sexualité comme « un aspect central de l’être humain tout au long de la vie, qui englobe le sexe, les identités et les rôles de genre, l’orientation sexuelle, l’érotisme, le plaisir, l’intimité et la reproduction ».

La sexualité ne se limite donc pas aux rapports sexuels : elle intègre la relation au corps, au désir, à l’autre et à soi-même.

Elle comporte quatre grandes dimensions :



les 4 grandes dimensions de la sexualité

La sexothérapie permet d’explorer ces différentes dimensions de manière intégrée, afin de mieux comprendre les enjeux personnels et relationnels liés à la sexualité.



 Désir, libido et variations : mieux comprendre ce qui (nous) traverse


désir et libido en sexothérapie

Le désir sexuel est une composante centrale de la sexualité humaine, mais il reste souvent mal compris, surinvesti ou pathologisé. En consultation, de nombreuses personnes expriment une inquiétude face à une baisse ou à une absence de désir, sans toujours parvenir à poser des mots clairs sur ce qu’elles traversent.


🧠 Définir le désir et la libido


Bien que les deux termes soient souvent utilisés de manière interchangeable, ils désignent des réalités légèrement différentes :


  • La libido, du latin libido (« désir, envie »), désigne une énergie sexuelle globale.

En psychanalyse, elle correspond à une force pulsionnelle qui soutient le lien à soi, au plaisir, au vivant.

  • Le désir sexuel, quant à lui, renvoie davantage à une manifestation consciente : une envie de contact, d’excitation, d’exploration érotique. Il peut être spontané (émerger sans stimulation) ou réactif (s’éveiller dans une situation propice ou stimulante).


Le désir n’est donc pas uniquement hormonal ou automatique. Il est relationnel, émotionnel, contextuel et parfois conflictuel. Il peut cohabiter avec de l’amour ou non, s’accompagner de plaisir ou de crainte, et varier sans forcément indiquer un dysfonctionnement.



📉📈 Les variations du désir

les variations de désir dans le couple

Le désir n’est ni stable, ni linéaire.

Il fluctue selon de nombreux facteurs :

  • Facteurs biologiques : cycle hormonal, santé physique, médications, post-partum, ménopause, fatigue, douleurs chroniques.

  • Facteurs psychiques : stress, anxiété, troubles de l’estime de soi, rapport au corps, antécédents traumatiques.

  • Facteurs relationnels : conflits, routine, absence de communication ou de tendresse.

  • Facteurs sociaux et culturels : injonctions de performance, idées reçues sur la normalité, tabous éducatifs.


Il est important de rappeler que ces variations sont normales, et que le désir n’est pas une ressource inépuisable ou constamment accessible. Il peut disparaître temporairement sans que cela remette en cause l’amour, l’attachement ou la qualité d’une relation.

thérapie de couple

💬 Conclusion

Une absence ou une baisse de désir ne constitue pas en soi une pathologie. Ce peut être un signal, une réaction protectrice, ou simplement une phase. L’important n’est pas de rétablir une norme, mais d’écouter ce que le corps, la psyché ou la relation expriment à travers ce silence du désir.


mythes et tabou

Mythes et tabous :

déconstruire les normes invisibles


La sexualité est l’un des domaines les plus fortement marqués par les représentations collectives et les injonctions sociales.

Ces représentations — souvent intériorisées de manière inconsciente — influencent profondément la manière dont les individus perçoivent leur désir, leur corps, leur performance ou leur légitimité à vivre une sexualité épanouie.



🔍 Exemples fréquents de mythes rencontrés en consultation


« Le désir sexuel doit être spontané et constant »

Cette croyance invisibilise le désir réactif, c’est-à-dire un désir qui émerge dans un contexte de sécurité, de tendresse ou de stimulation sensorielle. Elle engendre de l’auto-dévalorisation et des tensions dans le couple lorsque le désir ne « surgit pas naturellement ».


« L’orgasme est le but ultime de tout rapport sexuel »

Cette idée réduit la sexualité à une finalité mécanique et standardisée, au détriment des dimensions relationnelles, sensorielles et affectives. Elle crée souvent de la pression de performance, voire des blocages chez certaines personnes.


« L’homme doit toujours avoir envie » / « La femme est passive dans le désir »

Ces stéréotypes genrés sont à la fois sexistes et source d’anxiété. Ils renforcent une vision binaire de la sexualité, négligeant les singularités, les variations et les nuances de chaque individu.


« La pénétration est indispensable à une sexualité complète »

Ce mythe hétéronormatif invisibilise toutes les formes de sexualité non pénétrative (outercourse, sensualité, caresses, masturbation mutuelle…), qui peuvent pourtant être épanouissantes et pleinement satisfaisantes.


« Le plaisir anal est réservé aux personnes homosexuelles »

Cette représentation stigmatise certaines pratiques chez les hommes hétérosexuels et contribue à la répression du plaisir prostatique, pourtant accessible à toutes les personnes dotées d’une prostate, indépendamment de leur orientation sexuelle.


« La baisse de libido signe la fin de l’amour »

Cette idée fausse alimente de nombreux malentendus conjugaux. Le désir sexuel peut diminuer sans que l’amour ou l’attachement ne disparaissent. D’autres formes d’intimité peuvent perdurer ou se renforcer dans ces périodes.



🧠 Origine et impact des tabous


Les tabous sexuels (autour de la masturbation, des menstruations, du plaisir féminin, des pratiques BDSM, etc.) sont souvent issus de normes religieuses, patriarcales ou éducatives. Ils produisent des zones de silence, de honte ou de malaise autour d’expériences pourtant naturelles ou courantes.

travail sexothérapie

Ces tabous peuvent :

  • Inhiber le désir et le plaisir.

  • Provoquer de la culpabilité ou du rejet de soi.

  • Freiner la communication au sein du couple.

  • Entraver l’accès à des ressources de soin, d’éducation ou de prévention.


Les enjeux psychologiques et émotionnels : l’intime comme espace sensible

enjeux psychologiques et émotionnels de la sexualité

La sexualité humaine ne peut être dissociée de l’univers émotionnel et psychique.

Elle engage bien plus que le corps :

elle convoque la mémoire, le désir, l’imaginaire, la vulnérabilité et parfois les conflits internes.


De nombreux symptômes sexuels sont liés, en profondeur, à des processus psychiques non-conscients ou à des affects non régulés.



🎭 Les émotions en jeu dans l’expérience sexuelle


La sexualité est souvent traversée par des émotions ambivalentes :

  • Le plaisir peut coexister avec la peur de l’abandon, de l’intrusion ou de la perte de contrôle.

  • Le désir peut réveiller des affects liés à la honte, à la culpabilité ou à des représentations négatives du corps.

  • L’intimité peut faire émerger des blessures anciennes de rejet ou de trahison.


Certaines personnes peuvent vivre une dissociation, une inhibition, voire une paralysie émotionnelle lorsqu’elles se trouvent en situation sexuelle, sans pouvoir toujours l’expliquer.



🧠 Les mécanismes de défense et l’inconscient sexuel


La sexualité est un espace où se rejouent inconsciemment des schémas relationnels précoces (attachement insécure, peur de ne pas être « suffisant·e », conflit entre désir et danger, etc.).

sexothérapie pour les couples

Ces scénarios, s’ils ne sont pas identifiés, peuvent générer des blocages persistants :

  • Rejet de certaines pratiques ou réactions de fuite sans cause apparente.

  • Fantasmes récurrents liés à la domination, la soumission ou le pouvoir.

  • Sexualité compulsive ou, au contraire, anesthésie du désir.

  • Difficulté à « se laisser aller » ou à « recevoir » dans l’acte sexuel.


Ce qui se passe dans la sphère sexuelle est souvent le reflet d’un équilibre psychique global : la capacité à se relier à l’autre, à poser des limites, à exprimer ses besoins et à se laisser transformer par la relation.


💬 En résumé

La sexualité n’est pas un simple comportement, mais un langage émotionnel complexe, souvent chargé de mémoire affective.

En l’explorant en sexothérapie, il devient possible de réconcilier le corps, le psychisme et le désir.



Le rôle du couple : un terrain de jeu à réinventer ensemble


La sexualité constitue un espace privilégié dans la relation de couple, mais elle est souvent abordée sous l’angle de la performance ou du devoir. La sexothérapie propose de la considérer comme un terrain de jeu vivant, évolutif et libéré des injonctions extérieures.


💬 Réapprendre à communiquer

Il est essentiel de créer un dialogue ouvert, sans jugement,

permettant à chacun·e de partager ses besoins, ses peurs et ses limites.

Cette communication nourrit la complicité et permet d’adapter la sexualité aux réalités de la relation.


🌿 Reconnexion corporelle et sensorielle

La sexualité ne se limite pas à la pénétration ; elle englobe les caresses, les regards, la lenteur, l’exploration des sens. Ces pratiques renforcent la connexion et ouvrent de nouvelles perspectives de plaisir.


🎨 Oser la nouveauté et la diversité

La sexualité peut être réinventée à travers l’exploration de nouvelles pratiques (slow sex, sensualité non pénétrative, sex toys), mais aussi par la découverte de dynamiques spécifiques (BDSM, jeux érotiques). Ces expériences peuvent être des outils pour enrichir la complicité, à condition qu’elles soient basées sur le consentement, la communication et la sécurité.

règles du consentement

Certaines relations choisissent également d’explorer le polyamour, le couple libre ou le libertinage. Ces configurations nécessitent une communication rigoureuse et une attention particulière aux besoins de chacun·e. Un article spécifique sera prochainement consacré à ces dynamiques.


💡 Pour approfondir la question des dynamiques de pouvoir dans la sexualité, des articles spécifiques sur le BDSM sont disponibles ici


🌸 Sortir de la pression et des injonctions

Les normes imposées par la société (fréquence des rapports, performance, scripts de genre) créent une pression inutile. La sexualité n’est pas un devoir ni un indicateur de « bonne santé » conjugale ; elle est un espace libre, évolutif et façonné par les désirs et les limites de chacun·e.


🔒 Le consentement, clé d’une sexualité épanouie

Le consentement doit rester un processus vivant, explicite et réaffirmé à chaque étape. Il garantit une sexualité respectueuse et éthique, et favorise l’expression authentique des désirs.


💛 Une sexualité bienveillante et respectueuse

La sexualité, dans le couple, est un espace à créer à deux, loin des injonctions extérieures. Elle peut être mise en pause ou transformée selon les besoins, et demeure avant tout un lieu de complicité et de liberté.


Les bienfaits d’une sexualité épanouie : une ressource pour le corps, l’esprit et le lien


Lorsqu’elle est vécue dans un cadre sécure, respectueux et ajusté aux besoins de chacun·e, la sexualité peut devenir un espace de vitalité, de connexion et de régulation. Elle ne constitue pas une obligation ni un indicateur de normalité, mais peut jouer un rôle structurant dans l’équilibre de la personne, du couple et de la relation à soi.


Une sexualité épanouie — quel que soit son rythme, sa forme ou ses modalités — peut soutenir activement la santé globale.



🧬 Bienfaits physiologiques


L’activité sexuelle, sous ses multiples formes (érotisme, caresses, orgasme, excitation sans pénétration) agit sur plusieurs systèmes corporels :

  • Régulation hormonale : production d’ocytocine, de dopamine et d’endorphines, hormones associées à l’attachement, au bien-être et au soulagement de la douleur.

  • Renforcement immunitaire : certaines études associent une activité sexuelle régulière à une meilleure réponse immunitaire.

  • Amélioration du sommeil : la détente post-orgasmique favorise un relâchement du tonus musculaire et un endormissement plus rapide.

  • Soulagement des douleurs (notamment menstruelles ou cervicales) grâce aux contractions pelviennes et à la libération d’endorphines.

  • Détente musculaire et cardiovasculaire, semblable à une pratique corporelle douce.



🧠 Bienfaits psychiques et émotionnels


La sexualité engage également l’estime de soi, la capacité à être en lien et la confiance dans l’altérité :

  • Renforcement de l’image corporelle : se sentir désiré·e ou en contact avec ses sensations peut restaurer un sentiment d’unité corporelle et d’acceptation de soi.

  • Réduction du stress : l’activité sexuelle est un régulateur naturel du système nerveux autonome, notamment en période de surcharge mentale ou émotionnelle.

  • Stimulation de la créativité et de l’élan vital, par la mobilisation de l’imaginaire, du jeu et du plaisir partagé.

  • Amélioration de la connexion à ses émotions : dans un cadre sécurisé, la sexualité peut ouvrir un espace d’expression émotionnelle authentique.



🤝 Bienfaits relationnels


Au sein du couple ou dans toute relation intime, la sexualité peut renforcer la qualité du lien, à condition qu’elle repose sur la communication, le respect et la co-construction :

  • Renforcement du sentiment de sécurité affective : par le toucher, l’attachement et le plaisir partagé.

  • Amélioration de la communication : lorsque les besoins sexuels peuvent être exprimés sans crainte de rejet, cela ouvre la voie à d’autres formes de vulnérabilité relationnelle.

  • Développement de la complicité : la sexualité partagée peut devenir un terrain d’exploration, de rire, de jeu et de créativité à deux.

  • Création de rituels intimes qui nourrissent la relation au-delà des mots.


🔎 Une sexualité épanouie ne suit aucun modèle préétabli.

les bienfaits de la sexualité

Elle ne se mesure ni à la fréquence, ni à l’intensité, ni au type de pratiques.

Elle repose sur la congruence entre ce qui est vécu et ce qui est désiré, dans le respect des rythmes et des limites de chacun·e.




Sexualité et diversité : accueillir la pluralité des vécus


La sexualité humaine ne se résume pas à une norme unique. Elle peut être fluide, mouvante, atypique ou stable, et se déployer dans une infinité de manières d’être, de désirer, de ressentir et de s’engager. Cette diversité mérite d’être reconnue, respectée et soutenue, notamment dans le cadre d’un accompagnement thérapeutique.


La sexothérapie s’inscrit ici comme un espace sécurisé où les personnes peuvent interroger leur rapport à la norme, à leur corps, à leur identité ou à leur imaginaire sexuel, sans jugement ni hiérarchisation.


Comprendre les termes clés


Pour mieux appréhender la diversité des vécus sexuels et identitaires, il est essentiel de distinguer plusieurs notions souvent confondues.


Identité sexuelle : c’est le sexe assigné à la naissance en fonction des caractéristiques biologiques observables (appareillage génital, chromosomes, hormones). Elle est généralement enregistrée comme « femme » ou « homme » sur les documents officiels. Cette désignation ne présume ni de l’identité de genre, ni de l’orientation sexuelle.


Identité de genre : il s’agit du vécu intime et psychique de son genre (homme, femme, non-binaire, agenre, etc.), qui peut ou non correspondre au sexe assigné à la naissance.


Orientation sexuelle : elle décrit l’attirance émotionnelle, sexuelle ou romantique envers d’autres personnes (hétérosexuelle, homosexuelle, pansexuelle, asexuelle, etc.).


Orientation de genre : elle fait référence à l’attirance envers des identités de genre spécifiques (être attiré·e par les femmes, les personnes non-binaires, les hommes trans, etc.), indépendamment du sexe biologique.


Ces dimensions peuvent coexister, s’influencer et évoluer au fil du temps, sans qu’aucune ne soit figée.


L’impact des normes sur le vécu sexuel


Dans nos sociétés, la sexualité reste fortement marquée par des normes hétéronormatives, cisnormées et mononormées. Ces injonctions produisent de nombreux effets sur la construction de soi et du désir, notamment :

  • la pression à la performance ou à la disponibilité sexuelle,

  • la stigmatisation des sexualités non pénétratives, queer ou non-reproductives,

  • l’invisibilisation des vécus trans, non-binaires ou asexuels,

  • la culpabilisation des personnes ne correspondant pas à ces modèles.


Ces normes peuvent générer de la honte, de la confusion, du repli ou une difficulté à se sentir légitime dans ses ressentis ou ses pratiques.


Une approche thérapeutique inclusive et sécurisante


En sexothérapie, il est essentiel d’accueillir cette diversité dans un cadre contenant, bienveillant et non pathologisant. Cela implique :

  • d’offrir un espace où chacun·e peut questionner ou affirmer ses repères,

  • de soutenir les identités de genre et les orientations sexuelles minorisées,

  • de proposer une lecture critique des modèles dominants pour libérer l’exploration intime,

  • de travailler à une sécurité symbolique et émotionnelle, particulièrement chez les personnes ayant été confrontées au rejet ou à la discrimination.


La reconnaissance de cette diversité n’est pas un supplément d’âme mais un enjeu fondamental d’accessibilité thérapeutique.



Ressources communautaires

Certaines structures offrent un accueil et un soutien précieux pour les personnes LGBTQIA+, en questionnement identitaire ou à la recherche d’un cadre respectueux :


  • Le Spot Montpellier : centre de santé sexuelle inclusive, groupe de parole queer.

  • MAG Jeunes LGBT : espace d’écoute et d’information pour les jeunes.

  • Le Refuge : hébergement et accompagnement des jeunes LGBTQIA+ en rupture familiale.

  • Planning Familial : accueil inconditionnel et écoute autour des sexualités et de la parentalité.

  • Acceptess-T, Act Up, OUTrans : associations engagées dans la défense des droits des personnes trans, séropositives ou précaires.


En résumé, valoriser la diversité des sexualités, c’est reconnaître que chaque individu est le·la mieux placé·e pour définir ce qui est juste pour lui, elle, ou iel. En thérapie, cette posture d’ouverture permet de réconcilier désir, corps, histoire et autonomie, dans une sexualité choisie plutôt que subie.


🔚 Conclusion


La sexualité est un espace intime, vivant et profondément subjectif. Elle ne peut être normée, figée ni réduite à une fonction biologique ou relationnelle. Elle s’inscrit dans une histoire personnelle, dans des schémas inconscients, dans un contexte culturel, dans des rencontres, des blessures, des découvertes — et parfois des silences.


En sexothérapie, nous n’imposons pas un modèle à atteindre. Nous ouvrons un cadre sécurisant où la parole peut circuler librement, où les zones d’ombre peuvent être explorées avec bienveillance, où le corps retrouve sa place dans l’expérience, et où chaque personne peut réinventer une sexualité qui lui ressemble : choisie, sensible, ajustée, évolutive.


Redonner sens à sa sexualité, c’est aussi se réapproprier son désir, ses limites, sa curiosité. C’est rétablir du lien — à soi, à l’autre, au vivant. C’est parfois guérir, parfois oser, parfois ralentir. Toujours, c’est un chemin singulier qui mérite d’être accompagné avec respect et subtilité.



💬 Envie d’aller plus loin ?


Si certains passages de cet article vous ont interpellé·e, touché·e ou fait écho à votre vécu, il est tout à fait possible de prendre contact pour entamer un accompagnement.

Les séances se déroulent en visio, dans un cadre confidentiel et respectueux de vos valeurs, de votre rythme et de vos choix.



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